9 mars 2006
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(Jésus dit : ) Repentez-vous et croyez à l'Évangile.
Marc 1. 15
Venez, et plaidons ensemble, dit l'Éternel : Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s'ils sont rouges comme l'écarlate, ils seront comme la laine.
Ésaïe 1. 18
C'est une expression que nous entendons souvent prononcer, notamment dans les milieux bancaires et les enquêtes financières de la police.
De quoi s'agit-il ? Simplement d'un ensemble de procédés destinés à donner une apparence légale à des profits obtenus en faisant le commerce d'activités interdites par la loi, par exemple, à l'heure actuelle, le commerce de la drogue ou la prostitution.
Il consiste à cacher le mal par des activités très honorables qui font passer des escrocs pour des gens honnêtes. Cela demande beaucoup d'habileté et de perversité, et également beaucoup de tromperie, cette arme suprême de Satan, qui est le père du mensonge et qui conduit le monde (Jean 8. 44).
Mais toute manœuvre de dissimulation est vaine, face à Celui qui discerne de loin nos pensées (Psaume 139. 2), qui lit au fond des cœurs, et qui affirme que nous sommes tous pécheurs.
Le verset d'Esaïe nous parle, lui, d'un autre blanchiment, un blanchiment divin, celui que Dieu accomplit pour le salut des pécheurs : le Dieu d'amour nous a envoyé Jésus, son Fils unique, pour qu'en croyant en lui nous soyons sauvés. Et aujourd'hui encore, il nous propose un blanchiment réel et définitif : «Si vos péchés sont comme le cramoisi», et ils le sont assurément, «ils deviendront blancs comme la neige».
Par quel moyen ? Si nous acceptons Jésus comme notre Sauveur, car «le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché» (1 Jean 1. 7).
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La bonne semence
14 février 2006
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Au commencement Dieu créa les cieux et la terre.
Genèse 1. 1
Par la foi, nous comprenons que les mondes ont été formés par la parole de Dieu, de sorte que ce qui se voit n'a pas été fait à partir de choses qui paraissent.
Hébreux 11. 3
Dès la première page, la Bible affirme que Dieu a créé les cieux, la terre et tout ce qu'elle contient. La science n'a jamais pu contredire cette affirmation.
“Sur l'origine de la vie, il faut bien reconnaître que nous ne savons rien”. Cette déclaration de Jean Rostand reste valable aujourd'hui.
Chaque découverte pose plus de questions qu'elle n'en résout. Les hypothèses des savants nous laissent dans le flou. La Bible dit clairement que nous ne sommes pas le fruit du hasard, mais d'une volonté divine et sage.
La science, elle, aboutit à des conclusions incertaines et mouvantes. Le biologiste Rémi Chauvain explique que la théorie de l'évolution chère à Darwin a duré longtemps parce qu'elle était la seule solution de rechange à l'idée de Dieu, gênante pour la conscience de bien des gens. Avec beaucoup d'autres savants à la pointe de la recherche, physiciens, biologistes, astronomes, il se demande : “N'y aurait-il pas un grand Ingénieur ?”
Dans un langage simple, qui peut être compris par les hommes de tous les temps, la Bible a révélé quelle était l'origine de l'homme et de l'univers. Elle ne nous a pas trompés. La science, par contre, évolue sans cesse, et les théories d'hier que l'on nous présentait comme des certitudes sont peu à peu abandonnées.
Reprenons donc le Livre de Dieu pour y découvrir, non seulement notre origine, mais les promesses du Dieu Créateur qui veut être aussi notre Sauveur.
d'après F. Bailet
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10 février 2006
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Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous préparer une place. Et si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi.
Jean 14. 2-3
Le chapitre 14 de l'Évangile de Jean est celui des consolations. Sur le point de quitter ses disciples, Jésus voulait les préparer à son départ en leur donnant, à eux puis à nous, une provision inépuisable de ressources jusqu'au moment de son retour.
Déjà il nous montre que notre avenir, c'est la gloire, la Maison du Père. Il reviendra pour nous y recueillir, car nous avoir auprès de lui est une exigence de son amour pour ceux qu'il a sauvés.
Puis il rappelle notre relation avec le Père : nous sommes enfants de Dieu, ce qui nous permet de nous adresser à lui librement par la prière, en lui présentant nos demandes au nom de Jésus (v. 13-14).
Autre ressource promise par le Seigneur aux siens pendant le temps de son absence : une personne divine, envoyée par lui, prendra en mains leurs intérêts à sa place : le Saint Esprit, qui sera non seulement avec eux, mais en eux. Avoir le Consolateur lui-même, c'est plus que d'avoir les consolations ; c'est l'assurance que celles-ci ne manqueront jamais.
Nous avons aussi entre nos mains la Parole de notre Dieu. Le Saint Esprit, nous conduisant dans nos lectures, nous en donnera le sens profond, et nous y révélera les gloires variées de la personne de Jésus Christ.
Enfin le Seigneur nous communique aussi sa paix (v. 27). «Ayez bon courage», leur dit-il en terminant (Jean 16. 33). Ce monde dans lequel je vous laisse est un monde que j'ai vaincu.
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8 février 2006
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Moi, je verrai ta face en justice ; quand je serai réveillé, je serai rassasié de ton image.
Psaume 17. 15
Ils porteront des fruits encore dans la blanche vieillesse, ils seront pleins de sève, et verdoyants.
Psaume 92. 14
«J'approche du moment où j'entrerai dans le palais du Roi des rois, que j'aurai eu le bonheur de connaître depuis 93 ans comme mon Sauveur, mon Seigneur et mon Dieu.
Ce sera déjà un émerveillement d'y rencontrer, après la résurrection, d'illustres hommes de foi tels que Noé, Abraham, Joseph, Moïse et tant d'autres dans leurs corps glorifiés. J'apprendrai probablement de leur bouche combien ils ont goûté la grâce de Dieu dont j'ai moi-même fait si longtemps l'expérience.
Oui, j'aurai là une place avec eux ; mais celui que je contemplerai dans ce lieu de gloire, ce sera le Roi lui-même dans son éclatante beauté.
Bien que pécheur par mes actes et par ma nature, je peux me réjouir du moment, certes impressionnant, où je serai introduit dans sa sainte présence. Y serai-je mal à l'aise ? Non, mes fautes ont été complètement effacées par celui même qui occupe le trône. Et j'en aurai la preuve en remarquant dans ses mains, ses pieds et son côté la trace des souffrances qu'il a traversées par amour pour moi.»
James A. Harrow
Introduit par Jésus dans la gloire éclatante
Où dès l'éternité Dieu voulait des humains,
Je pourrai contempler sa beauté ravissante
Et les blessures de ses mains.
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28 janvier 2006
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Vous étiez morts dans vos fautes et dans vos péchés (vous y avez marché autrefois, selon la façon de vivre de ce monde).
Éphésiens 2. 1-2
... Ceux que le diable avait asservis.
Actes 10. 38
Sans s'en rendre compte, l'homme est confronté à un terrible ennemi que la Bible appelle Satan
(mot hébreu signifiant : adversaire).
Depuis le commencement de l'humanité, au jardin d'Eden, Satan a toujours trompé l'homme et continue à le faire en utilisant les ruses les plus variées (Ephésiens 6. 11). Il n'hésite pas à l'attaquer avec les armes les mieux appropriées, qui vont des tentations et des péchés les plus grossiers à ce qui flatte les instincts les plus nobles.
Ce peuvent être :
– les passions asservissantes ou avilissantes,
– les convoitises tyranniques jamais assouvies conduisant à la violence, la corruption, l'avarice...
– l'occultisme, les duperies des marchands de santé, de bonheur,
– l'asservissement au monde virtuel d'Internet, aux jeux vidéo,
– le tourbillon des mondanités : réceptions, spectacles, jeux d'argent...
– la soif du pouvoir, des honneurs, la tyrannie des affaires...
Satan ne néglige rien ; il exploite tous les penchants, les goûts, les tendances, les faiblesses et les fragilités. Il fait usage de tout, même de ce qui est un don de Dieu, pour conduire l'individu à donner une place excessive à ce don dans son coeur et dans sa vie.
Mais Satan a été définitivement vaincu par le Christ, et il le sait. Maintenant, le chrétien, par la Parole de Dieu, peut repousser toutes ses attaques. «Résistez au diable, et il fuira loin de vous» (Jacques 4. 7).
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28 janvier 2006
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Un homme ne pourra en aucune manière racheter son frère, ni donner à Dieu sa rançon… Il faut qu'il y renonce à jamais.
Psaume 49. 7-8
(Le) Christ Jésus… s'est donné lui-même en rançon pour tous.
1 Timothée 2. 6
Une rançon est une somme d'argent exigée pour remettre en liberté une personne captive. Les péchés que chacun commet sont une offense à la sainteté divine, et constituent une dette envers Dieu. Son paiement est assimilé ici à une rançon.
Si quelqu'un prétend n'avoir pas péché, peut-être pensera-t-il qu'il n'a pas besoin de rançon. Mais la Bible déclare : “Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 23).
Que celui qui, au contraire, sent le poids de ses péchés, ne cherche pas à trouver lui-même sa rançon. Le premier verset cité nous enlève toutes nos illusions : nous ne pouvons la trouver nous-mêmes, ni compter sur nos frères ou nos amis. Mais le second verset nous rassure : Dieu s'en est occupé, son propre Fils s'est donné lui-même, et le sang qu'il a versé à la croix de Golgotha suffit entièrement à effacer notre dette. Dieu affirme maintenant : “Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités” (Hébreux 10. 17). Si Dieu déclare qu'il est satisfait de cette rançon et qu'elle a pour lui une valeur suffisante, qui pourrait dire le contraire ? “C'est Dieu qui justifie ! Qui est celui qui condamne ?” (Romains 8. 33, 34).
Dieu offre aujourd'hui son pardon gratuitement, parce que le prix en a été payé par Jésus, à la croix.
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28 janvier 2006
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Ils se sont tous détournés, ils se sont tous ensemble corrompus ; il n'y a personne qui fasse le bien, non pas même un seul.
Psaume 14. 3
Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous, tous les bouts de la terre ; car moi, je suis Dieu, et il n'y en a pas d'autre.
Esaïe 45. 22
L'aviateur écrivain Antoine de Saint Exupéry était profondément humaniste. Il attachait du prix à la fraternité entre les hommes. Pourtant, quelque temps avant sa disparition, il s'exprimait en ces termes : “L'humanité, depuis des siècles, descend un immense escalier dont le sommet se perd dans les nuages et le bas dans un abîme sombre. Elle aurait pu le remonter, cet escalier ; elle a choisi de le descendre. La décadence spirituelle est effrayante”.
Ce constat désespéré de l'écrivain rejoint ce que nous dit la Bible sur l'état de l'humanité : “Ayant connu Dieu, ils ne l'ont pas glorifié comme Dieu et ne lui ont pas non plus rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs raisonnements, et leur coeur privé d'intelligence a été rempli de ténèbres” (Romains 1. 21). Jugement sans appel sur chacun d'entre nous !
Mais la Parole de Dieu ne s'arrête pas à cette déclaration sévère. Dieu a trouvé un remède au mal incurable dont nous sommes tous atteints : il a détourné le châtiment que nous méritions sur son Fils Jésus Christ, crucifié pour nous. “Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16).
Dieu a tout fait pour moi. Il me demande de le croire, de reconnaître honnêtement que je suis l'une de ces personnes qui ont besoin de son pardon, et d'accepter le Seigneur Jésus pour mon Sauveur.
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27 janvier 2006
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L'homme n'a pas attendu Freud, Adler et Jung pour sentir, au fond de lui-même,ce double besoin essentiel : aimer et être aimé. Nous sommes constitués d'une telle façon que l'affection et la tendresse sont indispensables à la vie.
Sur quels critères fonder le véritable amour ?
Notre société si impersonnelle, si froide, prétend nous proposer quelques ersatz d'amour. Ici, on chante les vertus de "l'amour libre" : alors, pourquoi tant de séparations, de foyers à la dérive, de filles abandonnées à la première grossesse ?
Là, on crie à la "liberté sexuelle" du corps et des sens. Pourtant, "l'érotisme" n'est que rugissement quand l'amour est silence ; le premier exige toujours quand le second est sacrifice et
se donne ; celui-ci brise les coeurs, quand celui-là les unit.
C'est vrai, on n'a jamais autant parler d'amour et cependant, on n'a jamais vu autant de haine, de divorces, de violence. Si de nos jours le mot "amour"a perdu sa signification, c'est qu'on essaie, en vain, de filtrer l'eau d'une rivière mortellement polluée, alors qu'il suffirait de boire à la source !
Celle-ci est intarissable, pure et fraîche ; nous la trouvons dans la Bible : "(...) Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive, des fleuves d'eau vive jailliront de son cœur (...)" (Jean 7/37-38).
Pourquoi n'avons-nous qu'une caricature d'amour ? Nous avons écarté Jésus de notre programme, de nos choix, de notre vie.
Demandons à celui qui est l'essence même de l'amour de nous donner la vraie force d'aimer.
Lui nous a aimés jusqu'à la mort de la croix et peut déverser dans notre cœur des flots d'amour.
Paul Ettori
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27 janvier 2006
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- Nous consumons nos années comme une pensée. Les jours de nos années montent à soixante-dix ans, et si, à cause de la vigueur, ils vont à quatre-vingts ans, leur orgueil encore est peine et vanité ; car votre vie s'en va bientôt...
(Psaume 90.9-10)
- Voici, c'est maintenant le temps favorable ; voici, c'est maintenant le jour du salut. (2 Corinthiens 6. 2)
L'expression est, paraît-il, du général de Gaulle à qui on peut du moins reconnaître que sa carrière à lui, vieillesse comprise, a été particulièrement bien remplie. Quoi qu'il en soit, la durée de notre vie est entre les mains du Dieu souverain (Psaume 31.15), mais nous devons prendre conscience que nous avançons inexorablement vers la vieillesse, ce temps où bien souvent les choses se compliquent. Aux difficultés physiques vient s'ajouter souvent un amoindrissement des facultés mentales comme la mémoire ou la capacité à réfléchir. C'est donc avant d'arriver au soir de notre vie terrestre que nous devons nous occuper de notre sort éternel.
La Parole de Dieu prévient: "Souviens-toi de ton Créateur dans les jours de ta jeunesse, avant que soient venus les jours mauvais, et qu'arrivent les années dont tu diras: Je n'y prends point de plaisir" (Ecclésiaste 12.1). Allons-nous laisser passer le temps sans nous soucier de notre âme, et sans prendre conscience qu'il y a une échéance qui s'appelle la mort, au-delà de laquelle personne ne peut plus rien?
Et vous qui avez déjà atteint un âge avancé, vous jetez peut-être sur votre passé un regard rempli de regrets. Si vous ne pouvez recommencer une seule minute de votre vie, il n'est cependant pas trop tard pour penser à Celui que vous avez longtemps oublié ou négligé, votre Créateur qui veut être aussi votre Sauveur. Pour vous comme pour chacun, il a donné son Fils unique afin que vous ne périssiez pas, mais que vous ayez la vie éternelle (Jean 3.16). Il vous dit encore aujourd'hui: "Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés" (Ésaïe 45.22).
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